Je me lève...

Et je t'encule...

Tu ne te réveilles pas...


Comme d'habitude !...

Régulièrement je m'énerve in petto sur ces bobos qui passent leur vie blogueuse à laisser entendre qu'elles ont une vie sexuelle vachement « olé olé », qu'elles tombent tous les mecs comme des mouches, qu'elle ne dédaignent pas certaines pratiques alternatives. Ne vous y trompez pas, moi, l'Immonde, je suis un fanatique obsessif du cul, et a priori j'ai de la sympathie pour les nanas pas bégueules sur ce plan là, non, mon problème avec ces « bobos-porno » c'est qu'elles sonnent faux, je les perçois soit bien mytho, compensant leur frustration dans une vie sexuelle fantasmée version web 2.0 ; soit dans une logique de surenchère sexuelle, à savoir qu'elles font réellement ce qu'elles disent mais pas parce qu'elles aiment le faire, juste pour sacrifier à une mode, être dans l'air du temps.

Quand je les lis, j'ai un fantasme qui est de les niquer (bien sur !), mais voyez-vous, dans le cadre d'une niquée bien rustre, mufle à souhait, sans préliminaires et sans se préoccuper de leur plaisir.

Je suis tellement immonde... et j'aime les plaisirs simples.

Quelques gouttes de trop font déborder ta porcelaine.

Elles coulent le long de tes joues, je ne veux pas les perdre,

Alors j'entreprends de les sauver du bout des lèvres.

Les larmes de tes yeux te rendent encore plus belle aux miens,

Et je me concentre sur le sel de toi pour ne pas en faire autant.

Non, ne rougis pas. Tendrement incapable d'être coupable.

A moi de réconforter ton être si admirablement normal.

Non, ne rougis pas.

Je balaie ton visage et te remets une mèche derrière l'oreille.

Oreille libérée aux mots si doux et crus si fort.

Non, ne rougis pas.

Œil vitreux et peau sans teint, ta porcelaine est si fragile.

Sa blancheur est maculée d'un pourpre grandissant.

Non, ne rougis pas.

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Face aux embruns, le ventre repu et en compagnie des siens... Heureux, en somme.

Les filles me regardent comme une coupe de glace au chocolat avec beaucoup de chantilly et une belle cerise bien rouge au sommet. Elles se pourlèchent les babines en imaginant des choses vachement indécentes qu'elles pourraient faire avec moi (c'est très vicieusement indécent, les filles).

Elles me fixent d'un regard voyou qui me fait rougir et qu'elles laissent parfois traîner au niveau de ma braguette. Cela me rend nerveux, surtout quand ma petite copine est à mon bras et que de dépit, elle m'écrase le pied avec son talon aiguille.

Peux-tu m'aider, s'il te plaît, inestimable lecteur/lectrice, à trouver une solution à ce problème lancinant ?

Je te remercie d'avance.